mercredi 10 mars 2010

lundi 8 mars 2010

Fabien

Le grand jour allait arriver pour Fabien, demain il allait enfin être majeur. Un bien grand mot pour un jeune homme comme lui. Il avait encore l’air juvénile et n’avait pas tout les attributs d’un homme. En effet il attendait avec impatience les premiers poils sur son torse encore imberbe et ses joues d’adolescent. Il s’était cependant fait une raison et ça n’avait plus pour lui une grande importance. Ce qui le tracassait réellement était ailleurs... A l’aube de l’âge adulte, Fabien n’avait encore jamais connu le plaisir charnel, à deux en tout cas. Pourtant il était plutôt joli garçon, les yeux oscillants entre vert et marron, un beau visage qui lui donnait toujours l’air joyeux et une petite bouche, de belles lèvres. Il avait les cheveux noirs, héritage de ses racines italiennes, qu’il laissait pousser à leur guise sans que cela paraisse négligé et enfin il prêtait une attention toute particulière à sa tenue. Malgré cela, Fabien était toujours puceau. Il y avait une raison toute simple à cela, il faisait partie de ceux qu’on a coutume d'appeler «les grands timides». Mais il avait décidé que demain, à sa fête, il oserait sauter le pas...

Tout était fin prêt, la sono avait était installée, avec difficulté certes, mais installée quand même. Il avait prévu avec ses amis de quoi boire et manger. Enfin surtout de quoi boire... Il était 19h, la fête commencerait vers 21h et Fabien avait le temps de prendre une douche et de se préparer. Il se dirigea donc vers la salle de bain. Apparemment sa soeur était passée par là. Elle avait laissé trainer tout ses produits, rasoirs et autres crèmes miracle. Bref, il se déshabilla rapidement et avant d’entrer dans la douche se regarda nu dans le grand miroir. Il était bien imberbe et il n’avait de poils en abondance que sur le pubis et sous les aisselles. Il regarda longuement son pénis. Il n’avait jamais vraiment vu d’autres pénis et en comparaison à ce qu’il voyait dans certains films pornos il avait peur d’avoir un plus petit pénis que les autres garçons du même âge qui se vantaient sans cesse. Un de ses amis lui avait avoué un jour qu’il se rasait entièrement le pubis et les testicules et que comme ça une pipe était bien plus agréable et qu’en plus la verge paraissait bien plus grande. Fabien se dit que grâce à sa soeur il avait tout sous la main, qu’il avait tout son temps et qu’il n’avait rien à perdre. Il attrapa donc un rasoir, un tube de mousse et entra dans la douche. Il fit couler l’eau se lava les cheveux, le corps et se décida enfin à se raser.

Il étala la mousse à raser sur son pubis mêlant ses doigts au milieu de cette toison abondante. Il retira la protection du rasoir, sa verge avait commencé à gonfler sous les caresses et surtout grâce à l'excitation de Fabien. Cependant il ne bandait pas. Il commença à se raser mais dès la première tentative il se rendit compte que si il ne coupait pas au ciseaux avant de se raser de près, il n’y arriverait jamais. Il se faufila hors de la douche, le corps encore tout ruisselant faisant ressorti ses formes de jeune homme encore très discrètes. Il attrapa une paire de ciseaux posée sur un meuble, retourna dans la douche et coupa ses poils le plus court possible laissant apparaitre la base de son pénis maintenant en érection. A présent les poils étaient très courts, ça allait être plus facile. Il se repassa de la mousse à raser et recommença le travail. En effet c’était bien mieux. La lame était arrivée à bout du pubis, Fabien passa sa main dessus, il fut surpris de voir à quel point cela pouvait être doux il se caressa une bonne minute passant sa main sur sa queue si dure qu’il pouvait sentir son coeur battre lorsqu’il l’empoignait fermement. Il pensa qu’il ne voulait pas être en retard et sortit de la douche. Mais en s’essuyant il se rendit compte que ce premier rasage lui avait irrité la peau.

Fabien attrapa donc le crème après-rasage de son père et l’appliqua sur son pubis rougit afin d’apaiser le feu du rasoir. C’était vraiment très doux. Il se regardait dans le miroir tout en appliquant la crème. C’est vrai qu’elle lui paraissait de bonne taille rasée et en érection. Il était très excité, regarda la pendule: 19h35, «j’ai bien le temps de me branler une dernière fois avant mes 18 ans pensa t-il». Il empoigna donc sa queue et décalotta lentement laissant apparaitre un gland humide. Fabien commença un mouvement de va et viens tout en se regardant dans la glace. Il avait les joues rouges et sentait le sang lui chauffer les oreilles. Il passa ses doigts sur ses tétons tout en accélérant les mouvements avec sa main droite. Le jeune homme allait de plus en plus vite et il sentait le sperme monter dans sa verge. Il finit par lâcher tout son jus sur le sol en 4 ou 5 jets abondants et en étouffant à peine un râle de plaisir. La queue encore gonflée de plaisir, tremblante et une dernière goute de semence sur son gland, il essuya avec sa serviette la preuve de ses actes. Il enfila un boxer noir barbouillant l'intérieur des restes de sperme.

Fabien finit de se préparer, mis un peu de parfum même si ce n’était pas son habitude et descendit, il était 20h. Cinq minutes plus tard, Thomas, son meilleur ami sonna à la porte. Il était venu aider pour les préparatifs de dernière minute. Il portait une chemise à carreaux rouge et s’était fait beau pour la soirée. Fabien l'invitât à entrer:

-Tu veux boire quelque-chose?

-Tu rigoles, pas déjà, je me réserve pour ce soir.

-T’as raison. Dis-donc t’as sortit la chemise «brockeback mountain», dit Fabien en rigolant.

-Je me suis dit que c’était obligé, je veux pas te faire de la concurrence, si les filles croient que je préfère les mecs, elles vont se jeter sur toi!

-T’es trop con, lâcha Fabien faisant mine d’être désespéré. C’est pas le tout mais on ferait bien de s’y mettre si on veut avoir finis dans une demi-heure.

Les deux amis finirent d’arranger le salon et mirent à l’abris les quelques objets fragiles. Il placèrent deux trois spots, remplirent des bols de chips et autres biscuits apéritif . 30 minutes plus tard tout était prêt. il allumèrent la musique, juste pour faire un bruit de fond pour l’instant, les choses sérieuses commenceraient plus tard. Pour l’heure, les premiers invités commençaient à arriver. Fabien courait de droite à gauche afin d'accueillir tout le monde mais bientôt les amis ou plutôt les connaissances furent trop nombreux. Fabien ne connaissait même pas certains d’entre-eux mais il ne s’en souciait pas, ce soir il avait un objectif en tête et ne comptait pas se stresser pour rien. D’ailleurs les filles étaient venues nombreuses à sa fête. Il discuta et dansa avec un grand nombre d’entre-elles. La fête battait son plein et Fabien était plutôt à l’aise. Il sortit un instant pour se rafraîchir et une fille sortit juste après lui. Il ne voulait pas joindre au groupe des fumeurs qui ne fumaient pas que du tabac, il s’adossa donc contre le mur. La demoiselle fit de même. Comme il n’osait rien dire bien qu’il eu bien sûr remarqué sa présence, elle finit par dire:

-Joyeux anniversaire Fabien

-Merci, dit-il visiblement intimidé

-18ans c’est pas rien, ça te fait quoi? demanda t-elle pour relancer la conversation

Elle était brune aux yeux gris-bleu, on ne discernait pas vraiment dans l’obscurité, elle n’était pas très grande mais avait des formes généreuses qu’elle avait su mettre en valeur. Elle était plutôt jolie, ce qui n’avait pas échappé à Fabien.

-Tu sais ça fait pas grand chose finalement, répondit-il enfin.

-Hum oui ça ne m’a pas fait grand chose non plus.

Après un court silence, Fabien se décida enfin à parler plus sérieusement:

-Comment tu t’appelles?

-J’ai cru que tu me le demanderais jamais, répondit-elle en riant. Je m’appelle Marylene.

-Oui je sais je suis pas très doué avec... enfin je veux dire dans les relations.

-Avec les filles plutôt, c’est ce que tu voulais dire nan?

Fabien se mit à rougir.

-T’es trop mignon toi.

-Tu trouves? Tu dois bien être la seule...

-Mais non, répondit-elle en souriant.Tu veux pas qu’on rentre pour discuter je commence à avoir froid

-Oui, moi aussi.

Ils rentrèrent tout les deux, mais au bout de 5 minutes, ils eurent mal à la gorge à force de crier et décidèrent de monter pour être plus au calme. Ils échangèrent deux-trois banalités et il y eu un blanc. Ils se regardaient sans oser rien dire ni rien faire. Marylene pris les devants en lui prenant la main et en approchant son visage du siens. Il se décida à la prendre par la taille et ils s'embrassèrent enfin.

-Ou est ta chambre?

-Elle est euh... au bout du couloir

Marylene l’entraina dans le couloir mais Fabien l'arrêta.

-Tu es sûre de... enfin...

-Oui n'ai pas peur.

Ils entrent dans la chambre, Marylene s’assit sur le lit et Fabien fit de même. Elle lui pris la main. Il était fébrile, ils s’embrassèrent à nouveau. Fabien osa passer sa main sous son tee-shirt. Elle arrêta un instant de l’embrasser pour lui sourire puis elle reposa sa bouche sur la sienne. Elle amena sa main sur la boutonnière de Fabien qui arrêta un instant de mêler sa langue à celle de Marylene. Celle-ci défit un à un les bouton de son jean jusqu’à pouvoir poser sa main sur son pénis à travers le boxer. Fabien ne bandait pas. Elle le poussa en arrière sur le lit, il respirait fort, elle sentait qu’il était stressé et se douta que c’était sa première fois. Elle posa sa bouche sur le boxer de Fabien et commença à embrasser sa verge toujours aussi indifférente à travers le tissu. Enfin elle agrippa le bord du boxer et le fit glisser afin de découvrir sa queue. Lorsqu’elle vit que le jeune homme était fraichement rasé elle ne pu s'empêcher de sourire. Elle lécha la bourse de Fabien jouant avec sa langue sur ces deux grosses boules. Elle remonta doucement le long de la verge et finit par prendre cette queue qui ne répondait pas à ses baisés dans sa bouche. Elle le suça ainsi un long moment mais Fabien qui s'agrippait aux draps de son lit sentait qu’il n’y arriverait pas. Il lui demanda d'arrêter, d’abord elle lui dit que ce n’était grave, que ça allait venir mais il s'énerva et remonta son boxer sur sa bite humide. Elle sortit en lui disant qu’il n’était qu’un petit con.

Thomas qui les avait vu monter et qui était resté à l’étage pour discuter avec des amis vit Marylene sortir en claquant la porte. Il décida d’aller voir son ami pour savoir ce qu’il s’était passé. Il trouva Fabien prostré sur son lit, la tête dans ses bras. On l’entendait simplement renifler de temps en temps. Thomas alla s’assoir à coté de lui sans rien dire après avoir fermé la porte. Au bout de quelques minutes il lui pris la main. Fabien ne dit rien, alors Thomas le pris dans ses bras pour le calmer.

-J’y suis pas arrivé, putain j’y suis pas arrivé, dit Fabien la voie emplie de sanglots

-Calme toi c’est rien, tu n’étais pas forcement prêt.

-Comment tu fais pour... pour pas perdre tes moyens?

Thomas rit un peu gêné avant de répondre:

-Ecoute Fabien ça fait des années qu’on se connait et franchement je pensais pas te le dire un jour mais je... je...

Thomas chercha ses mots mais rien ne vint, il retira son bras du coup de Fabien et continua:

-Tout ce que j’ai pu te raconter à propos de mes nombreuses aventures était inventé, je... merde je sais pas comment te dire!

Fabien releva la tête, dans la pénombre il ne vit pas qu’une larme coulait sur la joue de son ami qui se força à dire enfin:

-Je t’ai menti depuis le début je voulais pas que tu me rejette. Je préfère, enfin je crois que je préfère les... les garçons.

Le silence se fit, aucun des deux n’osaient dire quoi que ce soit. Au bout d’une minute Thomas sécha ses larmes d’un revers de manche et se leva. Il s'apprêtait à passer la porte lorsque Fabien se leva à son tour et le et l’attrapa par la manche. Il retourna son ami pour être face à lui, il le plaqua contre sa porte de chambre et tenta l’embrasser. Thomas détourna la tête sous l’effet de la surprise puis finis par laisser la langue de Fabien pénétrer dans sa bouche. Leurs langues se mêlèrent ainsi un moment. Les mains de Thomas se posèrent sur les fesses de Fabien et les agrippèrent à travers le jean. Fabien l’imita. Leurs sexe se touchaient à travers leurs jeans. Leurs mains quand à elles devenaient de plus en plus aventureuses et Thomas glissa sa main dans le boxer de son ami qui continuait à lui caresser les fesses. Il sentit immédiatement qu’il s’était rasé la queue et ne réprima pas un petit «wahhh». Il descendit un peu plus bas dans le boxer de Fabien qui se laissait faire. Sa bite était dure et Thomas l’empoigna, il pouvait sentir le pouls de son ami, son coeur battait rapidement. Sa queue était dure et bouillante, Thomas décida donc de libérer la verge de Fabien. Une fois dehors il la serra tout en la branlant. Fabien avait lui glissé ses deux mains dans le boxer de son ami mais il préférait lui caresser ses fesses fermes et imberbes. Thomas bandait si fort que la pression de sa bite sur la braguette lui faisait mal. Tout en léchant les lèvres et le coup de Fabien il défit le bouton et descendit son pantalon. Le jean sur les chevilles, il s’agenouilla devant le sexe dressé de son ami.

Il frotta son visage contre cette queue toute chaude et toute lisse, il l’embrassait partout et léchait le pubis imberbe. Il passa sa langue sur les testicules lisses de Fabien, les prenant entièrement dans sa bouche et jouant avec sa langue. Il pris alors son pénis tout au fond de sa gorge. Fabien enfouissait ses doigts dans les cheveux de Thomas, lui caressait le cou, la nuque, les épaules au rythme des va et viens. Fabien tremblait. Thomas lui pris la main tout en continuant à lécher la verge de son ami qui se mordait les lèvres pour ne faire aucun bruit. Thomas sentait sur sa langue les moindres irrégularité du pénis de celui qu’il avait toujours convoité. Il accéléra et posa ses deux mains sur les fesses de Fabien. Soudain ce dernier lui écarta le visage. Thomas pouvait sentir avec ses mains sur les muscles de son ami, les spasmes de plaisir se terminer alors que le liquide finissait couler sur son torse et sur son menton. Thomas se releva doucement et ouvrit la bouche pour parler mais Fabien l’embrassa lui léchant le menton et déposant au passage quelques goutes de sa propre semence sur sa langue.Ils restèrent comme ça à se regarder sans rien dire. Thomas pris la main de Fabien et la posa sur son torse où le sperme avait jaillit, leurs deux mains ensembles étalèrent le jus de Fabien. Thomas se rhabilla sans un mot et Fabien fit de même. Ce dernier lui demanda de partir, sans rien ajouter, le laissant ainsi seul dans une semi-pénombre face à lui même et au nouvel horizon qui venait de s’ouvrir à lui. Un horizon qui avait toujours était là mais qu’il n’avait pas voulu voir...


C'est partit!

On l'a attendu, le voici: un blog pour les jeunes gays français. Vous pouvez participer en m'envoyant vos histoires, vos photos et vos vidéos. Je me ferais un plaisir de les publier!! Voilà bonne visite et surtout je compte sur VOUS pour faire marcher le blog car c'est aussi et surtout le votre...