samedi 10 avril 2010

Histoire dans le train

Les débuts de semaine sont souvent des plus déprimants. C’était tout l’inverse pour Philippe, dans son esprit cela signifiait plutôt qu’un long week-end de solitude allait s’achever. Philippe avait 23 ans, c’était un grand brun au cheveux courts. Ses traits étaient carrés et il avait laissé pousser une barbe de deux jours qui lui donnait un air mystérieux mais qui n’engageait pas à la discussion. En semaine Philippe courait après le temps et rencontrer quelqu'un était idyllique pour lui, le week-end il était épuisé de la semaine passée et ne voulait pas sortir de son petit appartement. Bref il était le produit de la société. Bien sûr il avait essayé internet, sans grand succès... Cela n’avait aboutit qu’à des «plans-cul» sans grand intérêt. Evidement Philippe était comme tout le monde et il avait besoin de sexe mais ces derniers temps le rituel internet le lassait. Il voulait autre chose et à défaut de trouver, il préférait se concentrer sur son travail. Il travaillait comme statisticien à l’INSE, cela ne le passionnait pas mais il se disait que c’était un boulot comme un autre. Bref ce matin dans le train, il regardait les gens et comme à son habitude il imaginait leurs vies à partir de bribes de conversation entendues par ci, par là. Cela l’occupait.
Il arriva au bureau et se mis tout de suite au travail. Le temps passa vite et lorsqu’il releva la tête, il était déjà 20h. Il commanda une pizza, Philippe avait décidé de partir vers 22h30. Il n’avait aucune envie de s’enfermer chez lui pour se mettre devant la télé. Une vingtaine de minutes plus tard, le livreur arriva. Il n’avait même pas retiré son casque, déposa la boite sur le bureau, pris l’argent que lui tendait Philippe et tourna les talons. Philippe le regarda partir en le remerciant poliment. Il regardait plutôt les formes les formes à l’arrière de son jean. Philippe était le genre d’homme qui était «ouvert» comme on a coutume de dire. A vrai dire il avait même une nette préférence pour les hommes, il ne l’avait dit à personne mais après tout ça ne regardait que lui. Il travailla jusqu’à 23h00 puis finit par quitter le bureau. Il monta dans le train et se retrouva seul dans le wagon au bout de deux ou trois stations. Il posa ses jambes sur le siège en face. Il eu une érection et la forme de son sexe ressortait sur son pantalon de costume.
Il tenta de se calmer mais cela devait faire trois jours qu’il ne s’était pas branlé et ce wagon l’excitait au plus haut point. Philippe jeta un coup d’oeil à droite à gauche afin d’être certain qu’il était seul. Il sortit sa verge et commença à se masturber. Il n’avait pas une queue énorme mais on ne pouvait dire qu’il avait une raison de se plaindre. Il desserra sa cravate d’une main tout en continuant son mouvement. Il passa doucement son doigt sur le frein et fit ainsi de petit va et viens. Il aimé cette sensation de quasi-brulure sur le devant de son gland. Une petite goute venait d’apparaitre sur le dessus de son gland. Philippe passa son doigt dessus et l’amena à sa bouche. Il faisait souvent cela lorsqu’il était excité, il aimé le gout légèrement salé de ce liquide. Il reprit sa verge à pleine main. Il n’avait pas sentit que le train décèlerait. Il eu juste le temps de recouvrir sa bite avec son manteau lorsque les portes s’ouvrirent.
Il avait la queue et les testicules planquée sous son manteau lorsqu’un jeune homme monta. Il s’assit à l’autre bout du wagon, dos à Philippe qui sentait son coeur battre à la chamade. Il aimait cette sensation, la peur de se faire surprendre à tout moment. Le sang qui affluait dans sa verge en érection faisait bouger le manteau. Les portes du train se fermèrent et le train repartit. Philippe passa sa main sous le manteau et frôlait avec lentement son gland avec le bout de ses doigts. lentement il fit glisser manteau laissant son dur pénis à la vue de tous. Ce que Philippe ne savait pas c’est que le jeune homme assis au bout du wagon observait son manège dans la vitre, cela l’avait excité et lui aussi bandait. Il baissa les yeux vers son jean et vit la grosse bosse arriver jusque dans la poche. Il déboutonna doucement deux boutons de son jean. Philippe se masturbait maintenant à pleine main, il avait passé la seconde sous sa chemise et se caressait doucement. Il fixait le jeune pour être sur qu’il ne se retournerait pas. Soudain ce dernier se leva et vint se mettre juste dans la rangée en face de Philippe qui eu juste le temps de tirer une nouvelle fois son manteau sur sa bite.
Le jeune homme était à coté de la fenêtre, une jambe sur le siège en face de lui. Il fit mine de poser sa tête contre la fenêtre et de dormir. Philippe pouvait voir la forme de sa queue sous son jean et remarqua tout de suite qu’il bandait, ça l’excita encore plus. Il repassa tout doucement sa main sous son manteau et fit glisser son pouce sur son gland humide qu’il ramena à sa bouche. Il avait chaud et voulait aller plus loin. Il baissa un peu le manteau de manière à ce que seul le gland dépasse. Il le le caressait avec son index tremblant d’excitation. Il fixait le jeune homme, son coeur tambourinait contre sa poitrine. Il fit glisser un peu plus le manteau ci bien qu’il n’avait plus que la bourse à l’abris des regards. Il pose sa main sur sa queue dure et brulante et la frotta contre sa chemise. Il bandait si fort que la pression de l’ouverture de sa braguette avait l’effet d’un anneau. Il était sur le point de jouir lorsque le jeune homme rouvrit les yeux.
Philippe essaya remonta le manteau mais il venait de se griller, il ne savait que le jeune l’observait depuis déjà un long moment. Ce dernier regarda le manteau cachant la verge encore gonflée puis fixa Philippe en lui souriant. Il n’avait pas débandé et il approcha la main de son sexe. Il ouvrit les deux derniers boutons de sa boutonnière. Philippe n’osait rien faire et le regardait se passer sa main dans son boxer. L’homme lui souriait toujours. Il fit remonter sa queue pour ne montrer à Philippe son gland à moitié recouvert par son prépuce. Philippe transpirait et respirait fort. L’homme lui fit un signe de tête en regardant le manteau noir. Philippe compris qu’il voulait voir sa bite. Il souleva le manteau et posa le manteau à coté de lui, malgré la surprise sa queue était toujours aussi dure.
Le garçon se leva et vint s'asseoir juste en face de lui. Le train fit un nouvel arrêt, les deux hommes cachèrent leur queues mais personne ne monta. Il n'attendaient pas que les portes se soient refermées pour ressortir les deux verges. Ils commencèrent tout deux à se branler l’un en face de l’autre, matant la queue de l’autre. Il avaient les joues rouges et se branlaient de plus vite, laissant échapper de temps à autre un petit bruit au milieu des respirations profondes et rauques. Il étaient terriblement excités et leur deux bites étaient toutes deux érigées dans leur mains. Ils se branlaient ensemble à pleine main se regardant dans les yeux et se souriant furtivement. Philippe finit par dire «Viens».
Ils jouirent presque ensembles en un râle de plaisir. La chemise bleue de Philippe était pleine de sperme et sa bite était encore agitée de quelques spasmes. Le garçon remis son sexe encore dur dans son boxer et alla se mettre devant la porte pour descendre à la station suivante. Philippe boutonna sa veste de costume pour cacher les taches luisantes. Une fois le train arrêté il vit le jeune homme passer devant les vitres du train. Souvent il fit exprès de rentrer tard pour le revoir mais sans succès.